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Bankin’ structure son approche du marché BtoB

Avec Linxo, Bankin’ faisait jusqu’ici figure d’agrégateur BtoC par excellence sur un marché florissant. Néanmoins, un modèle économique freemium a déjà poussé d’autres acteurs à se tourner vers un autre marché, celui des professionnels. C’est aujourd’hui le cas de Bankin’, qui structure son offre autour d’une nouvelle marque, Bridge.

Bridge est une nouvelle marque présentée aujourd’hui par Bankin’. Elle recouvre l’offre BtoB développée par l’agrégateur depuis 2014. Cette marque blanche s’adresse donc aux organismes financiers mais aussi aux professionnels (comptables ou autres entreprises de la finance) souhaitant agréger des données transactionnelles).

KPMG, Sage ou encore RCA comptent déjà parmi les clients de Bridge. La plate-forme affiche un abonnement à partir de 499 euros par mois.

Bridge s’appuie sur la technologie de Bankin’, capable d’agréger en quelques secondes les données bancaires provenant de plus de 350 institutions financières françaises, britanniques, espagnoles ou encore allemandes. Les données concernent aussi bien des comptes courants que des comptes épargne, d’investissement ou de crédit.

Notre analyse - Un virage prometteur

Bankin’ fait aujourd’hui le choix de se rapprocher du modèle de Budget insight qui a toujours considéré Budgea (sa solution BtoC) comme une vitrine, se concentrant davantage sur les applications en marque blanche de sa technologie.

Bankin’ reste cependant le premier agrégateur français, avec près de 2 millions de clients particuliers (et 40 000 professionnels).

Une législation ambivalente

Les normes techniques réglementaires (RTS) de mise en application de la DSP2, qui viennent d’être adoptées par la Commission Européenne, vont sans doute compliquer la tâche des agrégateurs. Bankin’ choisit néanmoins de confirmer son positionnement BtoB dans un contexte flou, notamment en ce qui concerne les comptes épargne et d’investissement, qui n’entrent pas dans le champ d’application de la DSP2.