Logo

Site non disponible sur ce navigateur

Afin de bénéficier d'une expérience optimale nous vous invitons à consulter le site sur Chrome, Edge, Safari ou Mozilla Firefox.

adnews
  • Epargne
  • France

Retour d’expérience : Budget Insight réussit le pari de l’agrégation de comptes

La FinTech française Budget Insight, à l’origine de Budgea, une application de gestion des finances personnelles, fait le point sur les résultats de ses activités. Sa réussite illustre l’originalité de son positionnement sur un marché de l’agrégation de comptes en pleine évolution.

1,5 milliard d’euros d’actifs. C’est le montant que l’API Budgea Wealth a permis de gérer depuis 2014. Cette API dédiée au patrimoine est aujourd’hui utilisée par plusieurs dizaines de milliers d’utilisateurs.

Budgea Wealth permet à ses utilisateurs d’agréger et de gérer des comptes épargnes (assurance-vie, compte titres, PEA, épargne salariale…) ouverts auprès des 250 établissements financiers partenaires de Budget Insight.

Par ailleurs, avec cette API, Budget Insight a développé l’application en marque blanche LaFinBox, en partenariat avec Swiss Life. Elle permet aux banques et aux gestionnaires de patrimoine d’ouvrir à leurs propres clients une vision numérique et intuitive de leurs comptes.

Analyse : Un modèle original parmi les agrégateurs de comptes

Budget Insight se présente comme un pionnier de l’agrégation de comptes sur le segment de l’épargne et du patrimoine. Lancée en 2012, la start-up a d’abord été à l’origine d’une application de PFM, Budgea. Elle s’est rapidement spécialisée dans le déploiement d’API de connexion aux comptes, qu’il s’agisse de l’agrégation de données bancaires, de factures ou de comptes patrimoniaux.

C’est ainsi que démarre le cercle vertueux de la start-up, révélateur de l’intérêt de tous les acteurs du monde financier pour l’accès aux données transactionnelles des clients, destinées à être ouvertes.

Budget Insight se démarque aujourd’hui par son positionnement BtoB, ayant constaté que son application BtoC Budgea ne pourrait jamais lui offrir de modèle économique viable. La start-up espère bien reproduire ce succès dans les différents segments professionnels qu’elle vise et surtout profiter de l’opportunité de la DSP2 pour devenir PISP (initiateur de services de paiement).