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Retour d’expérience : Yomoni, un an et le succès

Un an après le début de ses activités en France, la start-up Yomoni, spécialisée dans l’épargne numérique et la technologie des robo-advisors, fait le bilan de son activité. Si le modèle met du temps à se développer en France, son succès devrait motiver d’autres acteurs.

1 500 clients. C’est le chiffre mis en avant par Yomoni pour justifier du dynamisme de son activité. Et en termes d’encours, cela représente 6 millions d’euros gérés actuellement par la start-up.

La spécialité de Yomoni est d’assurer une gestion automatisée de l’épargne de ses clients, grâce à un robo-advisor. Les portefeuilles sont donc gérés en ligne, selon les profils de risque des clients. Les taux de rendement des contrats d’assurance-vie oscillent ainsi entre 2,9 % et 9,4 %.

Forte de son succès, la start-up a récemment précisé ses objectifs pour l’année 2020. Elle espère assurer la gestion de près d’un milliard d’euros d’épargne et donc s’imposer comme la référence des robo-advisors français.

Analyse : Où en sont les robo-advisors en France ?

Les avancées technologiques participent aujourd’hui à la montée en puissance des robo-advisors. Ces modèles automatisés représentent une forme d’aboutissement pour l’analyse des données s’appuyant sur l’essor du Big Data.

En France, peu d’acteurs sont parvenus à initier un modèle abouti. Les autres acteurs du marché, comme Marie Quantier ou Wesave, ne communiquent pas sur leur développement. La forte aversion au risque des épargnants français est notamment un frein au démarrage de ce marché. De nouveaux acteurs s’y lancent pourtant, en particulier les banques qui diversifient ainsi leurs offres d’épargne. C’est le cas d’OCBC à Singapour, ou encore de Deutsche Bank ou BBVA.

En France, Yomoni multiplie les initiatives depuis son lancement l’an dernier, avec succès. Son bilan en matière de démocratisation de la signature électronique, réalisé au mois de juin, s’avérait par exemple très positif.