Logo

Site non disponible sur ce navigateur

Afin de bénéficier d'une expérience optimale nous vous invitons à consulter le site sur Chrome, Edge, Safari ou Mozilla Firefox.

adnews

Fraude en ligne : Kaspersky présente Safe Money

  • Kaspersky lance les nouvelles versions de ses logiciels Kaspersky Internet Security et Kaspersky Anti-Virus. Parmi les nouveautés, Internet Security inclut notamment un outil baptisé Safe Money, présenté comme un moyen de lutte contre la fraude en ligne (e-commerce et e-banking). Parmi les nouvelles fonctionnalités :
  • activation par défaut du logiciel en cas de navigation sur certaines pages de paiement et portails bancaires (ces listes peuvent être complétées manuellement),
  • cloisonnement des opérations de paiement pour limiter les risques de compromission,
  • vérification des pages sensibles (recherche de malware, de page de phishing, etc.),
  • scans du poste de travail en quête de menaces susceptible d’impacter les transactions de paiement,
  • clavier virtuel pour saisie des informations bancaires (évitement des keyloggers).
  • Testé en juillet dernier par le laboratoire indépendant Matousec, Safe Money s’avérait probant face aux 15 menaces éprouvées (source : Matousec, Online Payments Threats, 3 juillet 2012).
  • En outre, les deux logiciels disposent d’un module appelé Automatic Exploit Prevention, visant à limiter les risques d’exploitation des failles de sécurité avant mise à jour des applications par les utilisateurs ou parution par les éditeurs de correctifs dédiés.    
Source : Communiqué de presse de Kaspersky
  • L’éditeur d’antivirus étend ainsi la portée de ses suites logicielles pour inclure les contextes transactionnels et englober, outre les malware et autres spyware, diverses menaces susceptibles de porter atteinte aux données bancaires et personnelles de ses utilisateurs. Kaspersky Lab rappelle que plus de 1 400 malware bancaires sont créés chaque jour.
  • Très axé sur les aspects lies à la sensibilisation de ses clients aux menaces en ligne (voir l’Observatoire de décembre 2011), le développeur les aide également à prendre conscience des risques qu’ils encourent par le biais d’une nouvelle fonctionnalité (Automatic Exploit Prevention) : les failles de sécurité sont mises en évidence comme les besoins de mise à jour dont les usagers se chargent eux-mêmes dès la parution des patchs (Kaspersky explique avoir détecté plus d’un million de malware visant à exploiter des failles dans des programmes très largement utilisés, ce au cours du premier trimestre 2012 uniquement).