Logo

Site non disponible sur ce navigateur

Afin de bénéficier d'une expérience optimale nous vous invitons à consulter le site sur Chrome, Edge, Safari ou Mozilla Firefox.

adnews
  • Paiement
  • France

Retour d’expérience : un bilan positif pour Treezor

LES FAITS

  • Objectif : poursuivre ses investissements en R&D et exporter son savoir-faire vers de nouveaux territoires.  
  • Bilan :
  • Activité : en 2018, la FinTech a géré 4 milliards d’euros de flux et enregistré un CA supérieur à 6 millions d’euros.
  • Effectifs : en un an le nombre de collaborateurs est passé de 34 à 75. Le recrutement s’est fait dans tous les départements de la FinTech (compliance, juridique, développeurs, IT, ventes).
  • Portefeuille clients : la plate-forme de Banking-as-a-Service a convaincu une dizaine de FinTech, dont Lydia et Qonto, durant les douze derniers mois.
  • Ambitions :
  • Recrutement : Treezor prévoit d’accroitre ses effectifs de 50 % d’ici fin 2020. Les profils recherchés sont avant tout techniques.
  • Ouverture de bureaux : l’entreprise entend ouvrir un second bureau en France et y recruter une douzaine de développeurs d’ici fin 2020.
  • Expansion géographique : Treezor souhaite s’étendre à l’international. Elle vise l’Italie et l’Espagne dans un premier temps puis la Belgique et l’Allemagne dans un second temps.

ENJEUX

  • De fortes ambitions. Par le biais d’une stratégie de développement qui s’appuie en particulier sur le réseau du groupe Société Générale, le fournisseur de services bancaires dédié aux FinTech ambitionne de devenir une référence et un spécialiste européen du paiement.
  • Une intégration progressive. Malgré son rachat, Treezor est restée indépendante et a gardé son ADN de FinTech. Elle peut toutefois compter sur les équipes sécurité, compliance et IT de la banque rouge et noire, notamment pour ses projets d’internationalisation. Les flux de paiement passent en revanche chez Arkéa ; ils seront totalement migrés chez la banque de la Défense entre janvier et février 2020.
  • Aucun nouveau service. Pendant ces douze derniers mois, aucun nouveau produit ou service n’a vu le jour. La FinTech dit avoir préféré renforcer sa plate-forme. Cela a été une source de frustration pour quelques un de ses clients notamment sur le volet internationalisation avec des multidevises et des IBAN étrangers.

MISE EN PERSPECTIVE

  • En 2019, Treezor aurait également travaillé sur trois projets avec Société Générale. Néanmoins, aucune information n’a été communiquée. La banque rouge et noire vient d’ailleurs d’annoncer l’ouverture du paiement instantané à ses clients banques, établissements de paiements et de monnaie électronique, avec le lancement d’une nouvelle offre.  
  • Alors qu’elle était seule sur le marché, Treezor se retrouve désormais face à de nouveaux entrants. De nombreuses FinTech prévoient un lancement en 2020. C’est le cas d’eFounders qui prévoit de mettre en œuvre une solution similaire, baptisée Swan, ou encore de l’allemande SolarisBank qui devrait bientôt arriver sur le marché français.